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Activité E : Synthèse

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Les hôpitaux Québécois ne sont pas exemptés d’un problème qui se retrouve dans la plupart des hôpitaux du monde, celui de la gestion des infections nosocomiales (infections acquises dans les milieux de soins).  En effet, le fait que certains patients aient un système immunitaire plus faible les rend plus vulnérables aux infections et la proximité entre les patients fait en sorte que les personnes porteuses présentes à l’hôpital transmettent les plus facilement. Le niveau des infections est souvent élevé à cause de l’absence de certaines mesures lors de certaines procédures et interventions effectuées en milieu de santé. Une surveillance constante est alors nécessaire(S. e. S. S. Québec, 2013). Cette surveillance doit non seulement se faire aux seins des différents établissements de la santé mais également au niveau de la province. Les patients étant mobiles entre les différents hôpitaux  de la province, une communication entre les différents hôpitaux de la province est importante.

Mais quels sont les outils du Web social devons-nous prendre en considération dans cette analyse?  Le cours INF6107 dit que « le web social est le terme utilisé pour parler de la socialisation ou de l’interaction des gens via le réseau par l’intermédiaire de nouveaux outils qui leur permettent de passer d’un mode de presque pure consommation d’information vers un mode où chacun peut devenir producteur. » (Paquet). Nous nous pencherons donc premièrement sur les interactions qui se produisent dans le cadre de la pratique des professionnels de la santé œuvrant  dans le centre hospitalier puisque les intervenants devront bientôt  mettre à jour le dossier des patients et ne se contenteront pas uniquement de consulter cette information. Bien que ces informations ne soient disponibles que pour un groupe restreint d’utilisateurs, il est possible de parler le Web Social.

Dans ce document, nous décrirons la situation actuelle de la surveillance des infections dans l’un des hôpitaux du réseau de la santé du Québec que nous appellerons pour des raisons de confidentialité,  « Centre de Santé » et nous tenterons d’anticiper les changements que le web social pourrais apporter sur les trois échelles de temps suivants : un an, cinq ans, et vingt ans.  Nous observerons également, l’impact du web social plus général, accessible par des outils comme Facebook et You Tube.

 

1.     La prévention et le contrôle des infections en milieux hospitalier

Aujourd’hui, plusieurs hôpitaux assurent cette surveillance des infections nosocomiales en mode manuel. Dans le Centre de Santé,  les microbiologistes et les infirmières cliniciennes en gestion des Infections  mettent à jours des documents Excel leur permettant de produire des rapports que le département de Prévention et de Contrôle des Infections transmet manuellement de façon périodique à l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ). La mission de cette organisation  « est de soutenir le ministre de la Santé et des Services sociaux du Québec, les autorités régionales de santé publique ainsi que les établissements dans l’exercice de leurs responsabilités, en rendant disponibles leur expertise et leurs services spécialisés de laboratoire et de dépistage.

Le nettoyage des lits et des chambres est géré en vase clos par le département d’hygiène et de salubrité. Bien que ce département coordonne ses activités avec celui de contrôle des infections, il n’existe pas un système efficace de communication permettant aux intervenants (infirmiers et commis administratifs) ayant directement accès à l’information relative à l’occupation des emplacements par des patients infectés de faire connaitre aux préposés à l’entretien ménagers de manière précise et détaillée, les besoins de désinfection. La structure actuelle de communication peut-être décrite de la façon suivante :

Lorsque le résultat d’une analyse de microbiologie révèle qu’un patient est contagieux et que ce dernier doit être mis sous isolation, le laboratoire communique l’information au commis administratif de l’unité de soins en prenant soins de lui demander son nom qui sera attaché au rapport afin de le responsabiliser et de s’assurer qu’il relaiera le message aux intervenants nécessaires. Le laboratoire avise également le département de contrôle des infections. Le commis communique avec l’infirmière du patient qui prend les mesures nécessaires pour isoler le patient en le changeant de chambre lorsque la situation des lits le demande.  Parallèlement, le microbiologiste du département de contrôle des infections étudie le dossier du  patient afin de s’assurer que l’isolation est effectivement requise. Dans le cas positif, il met à jour le dossier du patient dans le système d’informations cliniques auquel médecins et infirmiers ont accès.   Toute communication avec le département d’hygiène et de salubrité est faite de verbalement et aucune trace électronique de la communication ou de la désinfection n’est maintenue.

La mise en place de médias permettant la communication à l’intérieur du réseau social composé notamment des infirmières responsables de la surveillance des infections nosocomiales, des infirmières et des commis administratifs affectés aux unités de soins et des intervenants en désinfections de tenir à jour un registre de l’état de propreté des lits.  Les projets en cours de réalisations devraient permettre d’atteindre cet objectif de collaboration au cours des années futures.

Outre la collaboration entre les différents utilisateurs internes du centre hospitalier, nous pouvons également parler des différents outils éducatifs disponibles sur le Web. En effet, plusieurs centres hospitaliers publient sur You Tube, des vidéos éducationnels et des conseils de prévention des infections. Il est possible de recruter les professionnels via LinkedIn. Sur Facebook, des sites comme « Infection Control Today » font la promotion du site internet de la revue offrant une plate-forme d’information et d’éducation globale pour la prévention de l’infection

 

 

2.     Extrapolation de la situation dans un an

 

Une solution Web est présentement en cours d’implémentation. Cette solution permettra aux commis administratifs et à l’infirmières prenantes soins d’un patient sur une unité de soins de mettre à jours l’information relative aux précautions d’isolations appliquées aux patients.  D’ici un an, il ne sera pas possible de profiter des possibilités de ce système. En effet, dans le milieu  syndical qu’est celui de notre Centre de Santé, il n’est pas facile d’encourager les initiatives du Web participatif. Le fait de mettre à jour un champ dans le dossier d’un patient semble être une tache relativement facile. Cependant, les employés et leur syndicat surveillent jalousement sur leurs acquis en matière de description de tâche. La moindre nouvelle action doit être l’objet de négociations pointues. La bonne stratégie consisterait à démontrer aux regroupements d’employés, les avantages qu’apporteraient leurs participations non seulement à l’ensemble du réseau mais également à chaque participant d’un point de vue individuel. Il est difficile de parvenir à faire accepter ce genre de changements, mais lorsque la technologie fait en sorte qu’ils deviennent incontournables ils sont moins remis en question.

Outre la collaboration entre les différents utilisateurs internes du centre hospitalier via l’intranet, nous pouvons également parler des différents outils éducatifs disponibles sur le Web. Au cours de la prochaine année,   Il est possible que les changements relatifs au web social ne soient pas très important. Si on s’intéresse à la situation québécoise, la plupart des centres hospitaliers sont occupées à l’acquisition de systèmes d’informations et ne mettront probablement pas beaucoup d’énergie à développer sur le web social.

3.     Extrapolation de la situation dans cinq ans

 

Certains centres hospitaliers tant au Québec de dans le reste du monde en sont à un niveau plus avancé dans leur utilisation du Web social  pour la gestion de leurs infections nosocomiales. Par exemple, le CHU de Québec (Québec) a utilisé ses systèmes de gestion des désinfections, de gestion des lits, et de gestion des infections pour  mettre en place un système de gestion intégrée des désinfections.  La communication entre ces trois systèmes  permet de connaitre en temps réel, les besoins en désinfection des lits et leur disponibilité. Avec ce mode de gestion, chaque acteur du réseau apporte des mises-à-jour aux informations des patients et des statuts des lits qui seront utilisés par les autres afin de faire plus rapidement, leurs taches dans le réseau. Ainsi, dès qu’un lit devient libre et qu’une désinfection est nécessaire, le préposé à la désinfection est instantanément au courant. Dès qu’une chambre-lit a été nettoyée et devient disponible, les employés en gestion des lits le savent.

Pour que le Centre de Santé,  parvienne à ce niveau d’efficacité au sein de ses murs d’ici les 5 prochaines années, il faudrait compter sur la mise en place d’un réseau de social sur le web pour y communiquer les grandes réalisations afin de stimuler ceux qui n’ont pas encore atteint  ce niveau de performance à le faire.

Jusque-là, le réseau décrit permettra de mettre à jour les informations des patients et des installations d’une façon collaborative. Un autre projet d’importance viendra au cours des cinq prochaines années apporter un atout majeur dans la lutte contre les infections en milieux hospitalier.  Le dossier Santé Québec permettra en effet de facilité la circulation de l’information.  Il n’est aujourd’hui pas possible de savoir si un patient n’ayant pas de dossier dans un centre hospitalier donnée, et porteuse d’une résistance aux antibiotiques. Le Dossier Santé Québec « Le DSQ est un outil mis à la disposition des médecins et des professionnels de la santé du Québec. Avec le DSQ, les personnes autorisées peuvent voir, sur un écran d’ordinateur, des informations qui leur permettent d’intervenir plus rapidement et plus efficacement. »

La figure 1 montre l’accès ce que les personnes ayant accès à l’information pourront faire dans le dossier Santé Québec.

Figure 1: Droit des personnes autorisées (G. d. Québec, 2013)

Pour le moment, les informations suivantes seront disponibles :

  • les      médicaments prescrits obtenus dans les pharmacies québécoises branchées au      DSQ
  • les      ordonnances prescrites en format électronique
  • les      résultats des analyses de laboratoire effectuées dans un établissement      public du Québec
  • les      résultats des examens d’imagerie effectués dans un établissement public du      Québec

On peut espérer que d’ici les cinq prochaines années,  l’indicateur que les hôpitaux tiennent pour identifier rapidement le patient ayant une résistance aux antibiotiques sera accessible via le dossier Santé Québec et permettra d’isoler le patient dès sont arrivé à n’importe quel hôpital.

Du point de vue externe, on suppose que l’information disponibles sur les Facebook, You Tube et autres continuera de progresser et de se multiplier, ce qui la rendra du même coup un peu moins accessible du à son abondance.

 

4.     Extrapolation de la situation dans vingt ans

On peut supposer que dans vingt ans, les problèmes de gestion des infections nosocomiales seront facilement gérables  par les structures informatiques mis en place au cours des deux décennies précédentes. D’un point de vue externe, on peut prévoir une que le gouvernent du Québec profitera du web social afin de mettre en place une structure permettant une surveillance national des  foyers d’infection dans l’ensemble de la province.  Aujourd’hui les hôpitaux communiquent le rapport de leurs performances sur la gestion des Infections à l’INSPQ qui effectue la surveillance notamment des infections. Le web social pourra permettre une surveillance en temps réelle plus efficace. On suppose que dans vingt ans, l’INSPQ recevra le rapport des hôpitaux en temps réelle. Mais la participation sur le web social permettra une collaboration entre les microbiologistes des différents hôpitaux du réseau. Ils seront alors en mesure d’échanger sur les paramètres reliés à une éclosion donnée. L’information destinée à monsieur et madame tout le monde sera à jour car le problème de la surabondance de l’information sur le Web sera beaucoup mieux controlee.

 

Références:

Paquet, S. Le web social et la circulation de l’information from http://benhur.teluq.uquebec.ca/SPIP/inf6107/spip.php?article=27&rubrique=8

Québec, C. d. La gestion transversale intégrée en hygiène et salubrité. from https://www.agpi.org/documents/file/colloques/2012/g8-carl_chouinard-colloque-agpi-2012.pdf

Québec, G. d. (2013). Comment fonctionne le Dossier Santé Québec?   Retrieved 09 janvier, 2014, from http://dossierdesante.gouv.qc.ca/population/Comment-fonctionne-le-DSQ/index.php?Lacces_aux_renseignements

Québec, S. e. S. S. (2013). Le Québec et les infections nosocomiales. from http://www.msss.gouv.qc.ca/sujets/prob_sante/nosocomiales/index.php?situation

Activité B

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1.      Choix du thème

Il existe beaucoup de blogues sur la cuisine. Les sites de cuisine haïtienne francophone ne font pas légion. Il existe plusieurs sites en anglais développés par des haïtiens vivant aux États Unis.

Il y a beaucoup d’étudiants  haïtiens dans les différentes universités à travers le  monde. Plusieurs d’entre eux aiment bien la cuisine de leur pays mais n’ont pas appris à cuisiner avant de quitter le nid familial.   Ce blogue a pour objectif premier d’encourager les haïtiens francophone (principalement, les Haitiens hors pays ) à cuisiner mais aimerait également mettre sous forme de recette l’héritage culinaire haïtien.

2.      Composantes de l’initiative:

Blogue sur la cuisine haïtienne dans lequel ont été publiés périodiquement, des nouvelles recettes :

http://manjebyen.com/

Compte professionnel Facebook  permettant aux visiteurs du site de participer aux interactions du site en publiant des commentaires :

https://www.facebook.com/cuisineHatienneManjeByen

3.      Activités Menées

Voici le calendrier des activités menées.

Date Activités

8 octobre

Envoie d’un premier message courriel à ma liste de contact

13 octobre

Envoie de message   Facebook à :Haïtiens au Brésil

  •   Union des Étudiants Haïtiens (U.E.H.)
  •   Étudiants Haïtiens en République Dominicaine
  •   Communauté des étudiants haïtiens en Russie
  •   Regroupement des étudiants haïtiens de polytechnique

21 et 27 octobre

Publication d’un   lien vers le blogue sur la page Facebook de :

  •   La maison d’Haïti *
  •   Bureau de la Communauté haïtienne de Montréal**

23 octobre

Envoie d’un second   message courriel à ma liste de contact

2 novembre

Publication d’une vidéo   sur YouTube :http://www.youtube.com/watch?v=uAyFylIEESo&feature=youtu.be

11 novembre

Commentaire sur le   site de Chatelaine.com(voir commentaire en   bas de la page) http://fr.chatelaine.com/recettes/viandes/grillot-de-porc/

*Bureau de la Communauté haïtienne de Montréal :

Le BCHM est un organisme communautaire à but non lucratif qui intervient auprès des familles vulnérables, issues des communautés ethnoculturelles du centre de l’ile de Montréal, pour qu’elles se sortent de l’isolement et de la pauvreté en favorisant leur réussite sociale.

**La Maison d’Haïti :

est un organisme dédié à l’éducation et à l’intégration des personnes et des familles immigrantes ainsi qu’à la création et au développement de liens étroits avec la société d’accueil.

4.      Statistiques de fréquentation de la page centrale

Statistiques du blogue

  1. Nombres de visites par jour :

Le site était en ligne depuis le mois de septembre, mais à ce moment, je le montais « live » car j’étais persuadé que personne n’irait le visiter car il n’était pas connu. Je n’avais donc pas commencé sa promotion.

Le 8 octobre, j’ai envoyé un courriel à ma liste de contacts Hotmail en leur présentant le nouveau blogue de recettes manjeByen.com.  Je leur ai demandé de partager eux même le lien avec leur propre liste de contacts.  Tout de suite, j’ai constaté une augmentation spontanée du nombre de visite sur le site qui est passé de 8 la veille de l’envoie à 63. La fréquentation est par la suite automatiquement redescendue. Par cela, j’ai compris que pour maintenir un blogue en santé, il est important, au début du moins, de non seulement le nourrir fréquemment de contenu mais également travailler quotidiennement à sa promotion.

Une deuxième hausse importante a été observée le 23 octobre suite à l’envoi d’un second courriel à la même liste de contact.

Le fait qu’un contact Facebook ayant beaucoup d’amis a mis la mention j’aime sur une recette publiée le 27 octobre a causé la troisième hausse importante

gi1

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Durée des visites

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Provenance des visiteurs

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Origine des Fans

Pays

Vos fans

États-Unis d’Amérique

31

Haïti

31

Canada

14

République Dominicaine

2

France

1

Martinique

1

Bahamas

1

Total

81

5.      Identifiez les principaux facteurs ayant agit sur la visibilité du site

Les différentes activités réalisées dans le cadre de ce travail ont eu un impact variable sur la visibilité du site.  L’envoi des courriels et l’ajout de mention « j’aime » ont ceux qui ont principalement eu un impact positif sur le site. Il a également été facile de rejoindre des personnes de plusieurs pays.  Beaucoup d’Haïtiens quittent leur pays pour étudier  dans les universités à travers le monde.  Ma liste de contacts entretien des liens avec ce réseau d’étudiants fréquentant  ou ayant fréquenté les universités du monde entier.

Il semble que la cible des étudiants ait été mal choisie. Les étudiants ne sont pas vraiment intéressés à la cuisine. La durée des visites bien qu’en progression depuis le début du projet demeure toutefois faible.

Les messages envoyés via Facebook n’ont pas porté beaucoup de fruits Il est possible que les 4 visites originaires de la Russie soient la conséquence de l’un de ces messages. Le message dans le site du magazine Châtelaine n’a pas encore eu d’impact pour le moment. Il faudrait augmenter ma présence dans le web participatif afin de me faire connaitre d’avantage.Toutes les initiatives peuvent prendre plus de temps qu’un ou deux mois pour avoir des répercussions sur la visibilité du site. Ce projet m’a m’initier à plusieurs outils qui pourront, une fois utilisés de façon plus systématique, permettre d’augmenter considérablement la visibilité du site.

Résolution du nouvel An. Module 7 Billet Libre

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Le nouvel an arrive dans moins d’une semaine.  « Dans l’antiquité romaine, les adorateurs du dieu Janus lui offraient leurs résolutions de bonne conduite du Nouvel An au dieu Janus. Le mois de Janvier est nommé d’après ce Dieu qui est l’un des plus uniques et très vénéré de tous les dieux romains. Janus était une divinité à deux visages qui regardait simultanément vers l’avant et vers l’arrière en même temps, symbolisant sa connaissance du passé et de l’avenir. »  (Selon,  Norcross, J. C., & Vangarelli, D. J. (1989). The resolution solution: Longitudinal examination of New Year’s change attempts. Journal of Substance Abuse, 1(2), 127-134. )

Dans la tradition perdure dans le monde occidental. Il est coutume de prendre, à cette époque, des nouvelles résolutions afin de tenter de changer des mauvaises habitudes de vie. On profite du passage vers la nouvelle année, synonyme de renouveau, pour prendre un nouveau départ dans les domaines de notre vie pour lesquels il nous est difficile d’atteindre les objectifs de changement.   (Source : Wikipédia)

Les gouvernements profitent parfois de cette période de remise en question pour encourager la population à adopter de saines habitudes de vies et du même coup, en profite pour donner des conseils pour les maintenir.

Par exemple, le site du gouvernement américain , « Popular New Year’s Resolutions », pésente  la liste des résolutions les plus populaires accompagnées de liens présentant des outils pour arriver à les maintenir.

Le gouvernement Ontarien fait de même dans son site sur les  résolutions du Nouvel An en matière de nutrition

Une étude de Norcross & Vangarelli 1989, 77% des résolutions sont maintenus au-delà de la première semaine.  55% le sont pour plus d’un mois. 40 % pour 6 mois et seulement 19% pour 2 ans.

Il est possible  qu’il  soit difficile de maintenir ses décisions de changements parce que l’on tente de changer trop drastiqueement un problème que l’on n’a pas réussi à résoudre au cours de plusieurs années.  Il serait peut-être bien de prendre la résolution cette année de ne pas prendre de résolution demandant de notre part trop de ressources ou engageant pour une trop longue période de temps. Au lieu de prendre des résolutions annuelles, pourquoi ne pas les renouveller quotidiennement. Par exemple au lieu de prendre la résolution de perdre 20 livres cette année, pourquoi ne pas de préférence décider d’aller prendre une marche de 20 minutes demain.

 

Internet et la surconsommation Module 6 Libre

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J’ai une amie qui m’a montré à toujours me poser la question suivante avant de me procurer des biens  de consommation non planifiés : « En ai-je vraiment besoin? » Bien souvent la réponse est non. Un autre frein que j’applique pour contrôler ma surconsommation est le fait que je doive sortir pour me procurer les biens que je convoite. Le temps de me rendre à destination, me permet encore une fois,  de valider la pertinence de mon besoin.

Je fais partie de la génération qui a vécu l’évolution de la technologie en direct. Les gens de mon âge qui ont participé aux premier cours d’informatique au secondaire. Nous apprenions le langage Basic. A la fin de mes années universitaires en 1993, L’internet existait mais n’était à ce moment connu que par des gens comme mon coéquipier  geek. Il m’en parlait avec passion mais je prenais ce qu’il me disait comme un concept  abstrait et ne croyait pas que l’internet subirait un jour la démocratisation que nous lui connaissons.  Beaucoup des gens de ma génération sont suffisamment à l’aise pour utiliser la technologie mais conservent une certaine méfiance lorsqu’il s’agit de faire des transactions en ligne. Personnellement, je fais certains achats en ligne mais via le site de grande bannière comme Amazon. J’ai parfois initié des transactions d’achat en ligne que j’ai par la suite abandonné parce que les informations demandées semblaient exposer mon identité. C’est ce qui me sauve de cette surconsommation. C’est si facile d’acheter sans réfléchir. Derrière son clavier, on se trouve à un clic prêt de ce beau sac original ou de ce magnifique pull vendu uniquement en France ou en Angleterre. Pas le temps de réfléchir et hop, 300$ de plus sur ma carte de crédit. Cette facilité d’accès est d’autant plus intéressante pour le consommateur qu’il d’éviter certains des inconvénients de l’achat en magasins comme la cohue lors de promotions spéciales. La presse rapporte qu’en 2013, les ventes en ligne ont représenté quelque 1,06 milliard de dollars le seul jour de Thanksgiving, un montant supérieur de 18% à celui de l’an dernier.

Le Web Participatif et la validité de l’information. Module 7

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Le grand dictionnaire definit le  Web participative  comme le  Web doté d’outils et de contenus interactifs qui permettent aux internautes de participer à la création de contenus Web, de partager de l’information en ligne et de communiquer entre eux.  Comme pour le cas de la production de musique, il n’est pas nécessaire d’être un expert pour contribuer de façon significative au contenu qui est générer.  0n peut bien discuter du statut de musicien de celui qui tape des pieds en écoutant une performance musicale, mais on ne peut pas nier sa participation à l’activité musicale. Il en est de même pour le cas du web Participatif même le simple visiteur apporte une contribution par sa présence du fait qu’il participe aux statistiques du site web (voir module 7 .4 cours INF6107).

Selon un article de Christophe Potron parru dans le journaldunet, les commerçants réalisent de plus en plus que leur présence en ligne est indispensable.  Ils utilisent alors le web pour partager avec leurs clients.  Mais les sites d’avis et les réseaux sociaux doivent être constamment surveillés afin de préserver leur E-réputation. Or les faux avis de consommateurs se multiplient sur le web. Des entreprises rédigent de fausses critiques élogieuses à leur propre sujet et des critiques négatives sur leurs compétiteurs.  Si bien qu’en 2012, L’Association française de normalisation mis en place une commission chargée de proposer des bonnes pratiques sur la fiabilité des avis sur Internet (voir article due François Deschamps dans Ecommercemag.fr).  On trouve des articles proposant des trucs pour repérer les faux avis par exemple (How to Spot a Fake Review on Amazon.Com) ou (How to Spot a Fake Review: 4 Clues Something’s Fishy)

Ceci nous permet de confirmer le fait que ce qui est présent sur le net doit être considéré avec objectivité. Il est important de toujours remettre en question la validité des informations que nous y trouvons. Alors que la lecture d’un article scientifique signé par un chercheur connu et approuvé par ses pairs a une longueur d’avance quant à sa fiabilité, les informations se retrouvant dans le web participatif demande d’être constamment remise en question. Le manque d’exactitude des informations peut provenir du manque de rigueur de certains auteurs mais également de la malhonnêteté d’autre.  C’est là l’un des inconvénients du web participative.

C’est qui au bout du clavier? Activite C, Module 5 libre

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Le blogue de Culture Mobile présente un article sur l’identité sur le net. Dans nos échanges sur internet, il est possible de s’inventer une nouvelle Image, une nouvelle personnalité, une nouvelle carrière. Mais le fait de pouvoir s’inventer une nouvelle identité à sa guise ouvre la porte à la fraude, l’escroquerie et la diffamation.

Un article de Francis Jauriguiberry (le moi, le soi et Internet) fait la différence entre la création d’une identité virtuelle dans le cadre de MUD (Multi Users Dungeons, Domains Dimensions) qui sont des jeux accessibles par Internet dans lesquels il est normale de jouer un rôle et la création d’une nouvelle identité dans le cadre par exemple de forum de discussions ou l’identité est supposée être réelle.  L’auteur suggère que dans les seconds cas, il s’agit de menteurs puisqu’une fausse identité est déclinée alors que les correspondants s’attendent à connaitre l’identité réelle de leurs interlocuteurs.

Mais, devrons-nous nous résigner à accepter de nouvelles règles du jeu, une nouvelle définition de l’identité. Tout pourrait dépendre du lieu et de la nature des échanges.  La grande ouverture qu’apportent les réseaux sociaux, amène avec elle, beaucoup de craintes face à la préservation de l’identité.  Devons-nous mettre dans la catégorie des menteurs, ceux qui empruntent une autre identité parce qu’ils veulent protéger leur identité réelle. Probablement que oui. Mais pouvons-nous différencier les identités empruntés fantaisiste des autres? Par exemple, lorsque vous voyez dans un forum que votre interlocuteur se nomme Martin Toujoursdebonnehumeur on a de sérieux doutes qu’il ne s’agit pas vraiment de son véritable nom de famille. Pouvons-nous accepter de converser avec un menteur si nous s’avons qu’il est menteur?

L’univers d’internet est un univers où cohabitent virtualité (jeu de rôle) et réalité. Il très difficile de savoir si celui avec qui on correspond est réellement celui qu’il prétend être. De facto, nous avons tous une attitude de méfiance lorsque nous échangeons avec des inconnus. Les échanges internet sont des échanges préliminaires. Bien fou est celui qui décide de bâtir des liens sérieux sur la base unique de relations en ligne. Beaucoup de facteurs du jeu de communication traditionnel manquent dans les échanges en ligne. La spontanéité, le langage non verbal y sont souvent absents.  Devons-nous alors accepter cet état de chose ou devons-nous apprendre à développer d’autres sens tout comme les aveugles par exemple ont appris à « entendre » ce langage non verbal…

La reputation Activite C, Module 6

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La réputation via les réseaux sociaux.

Dans leur article Enhancing reputation mechanisms via online social networks (Hogg & Adamic, 2004) parlent de deux approches pour déterminer la réputation d’un acteur dans le réseau. Il s’agit premièrement de la position des individus dans leur réseau social. L’autre approche il utilise les notations  ou des commentaires produits explicitement par les utilisateurs sur la base de transactions passées.

Dans un réseau social, La centralité d’un acteur «mesure le degré auquel un réseau dans son ensemble apprécie l’information détenue par un acteur particulier et cherche à accéder à cette information. »(Kane & Alavi, 2008, p. 258). Si un acteur a de nombreux liens comparativement avec les autres acteurs, cela indique que l’acteur a une position centrale dans le réseau. (Blanchet & James, 2012, p. 441) Cette notion de centralité est donc étroitement liée à la réputation des acteurs. Plus un acteur est central, plus il profite d’une bonne réputation.

Wikipédia présente les vecteurs de l’E-réputation des groupes :

  •  Les consommateurs qui  émettent des messages sur leur appréciation d’une organisation
  • Les sites institutionnels que sont tous les sites internet des ministères, des collectivités locales ou des organismes de recherche. Ils sont souvent règlementés ou gèrent les règlements.
  • Les sites des grands médias. Donc les sites des medias connus car ils font souvent un portrait complet d’en sujet donné.
  • Les forums
  • Les blogs
  • Les réseaux sociaux
  • Les agrégateurs d’actualités

Chacune de ces entités devront de leur côté une  bonne réputation. On se fie à leurs commentaires pour se faire une idée de l’opinion que l’on doit avoir.

Il existe plusieurs articles sur Internet traitant de la gestion de la E réputation.  L’un d’entre eux (Online Reputation Management: 16 Free Tools) présente 16 outils gratuits en ligne permettant de gérer la réputation en ligne. Parmi ceux-ci, Google Blog Search, permettant le Blog Monitoring,  Twitter Search, donnant la possibilité de trouver toute les activités sur  pour un mot clé donné et  Purewire Trust, un portal en ligne aidant les personne à vérifier l’information sur leur réputation

Références:

Blanchet, K., & James, P. (2012). How to do (or not to do)… a social network analysis in health systems research. Health policy and planning, 27(5), 438-446.

Hogg, T., & Adamic, L. (2004). Enhancing reputation mechanisms via online social networks. Paper presented at the Proceedings of the 5th ACM conference on Electronic commerce.

Kane, G. C., & Alavi, M. (2008). Casting the net: A multimodal network perspective on user-system interactions. Information Systems Research, 19(3), 253-272.

http://www.sitepoint.com/tools-manage-online-reputation/

http://fr.wikipedia.org/wiki/E-r%C3%A9putation

 

Privacy and the Internet: Is Facebook evil? – Peut-être que non mais moi j’ai peur! Activite C, Module 5

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Dans son blogue, le professeur Lemire publiait, le 9 Aout 2013, un article présentant une vision rationnelle de notre relation avec le concept de la confidentialité dans le nouveau village que constitue l’internet.  Dans Privacy and the Internet: Is Facebook evil? , il nous explique la différence entre invisibilité et confidentialité et nous amène à comprendre que ce que nous voulons, c’est de préserver une certaine confidentialité tout en étant visible.  Mais est-ce exacte? Est-ce que je veux vraiment être visible? Je ne pourrais jamais être totalement invisible… il est maintenant trop tard. Mais ma question cependant est la suivante : faut-il dans la mesure du possible limiter sa visibilité?

Le professeur Lemire le souligne dans sa chronique, qu’il « est un utilisateur expert des ordinateurs ». Il est donc en mesure d’aborder toute cette question en utilisant les outils lui permettant de jauger le problème selon l’angle de la logique.  Ce qu’il me manque, c’est justement la maitrise du sujet. En  se basant sur l’information véhiculée par les média traditionnels comme la radio, la télévision et les journaux, on comprend que beaucoup  d’informations sont constamment collecter à notre sujet via ou pour Internet.  Google utilise par exemple les données recueillis par la géolocalisation sur nos téléphones intelligents, afin de prévoir de manière précise l’état de la circulation sur les routes.  Ce service est utile, comme plusieurs autres, et est gratuit.  J’ignore la source de cette citation mais ne dit-on pas : « Si vous ne payez pas pour le produit, c’est que vous êtes le produit » ?  Or si je suis un produit, je suis à la merci de celui qui me possède. Je n’ai aucune idée de ce qui peut être fait de toute cette information amassée à mon sujet.  J’ai peur que le « Big Brother » du roman mille neuf cent quatre-vingt-quatre de George Orwell soit en gestation et que dans un avenir proche, il n’apparaisse. Mon reflex est alors de me préparer à l’invisibilité. Difficile entreprise, j’en suis consciente … mais bon! Trop peu est peut-être mieux que rien du tout. Le fait d’éviter d’être trop présente sur les réseaux sociaux me donne une impression peut-être fausse de sécurité.

Mon fruit préféré, la mangue Francisque. Activite C, Module 4 – sujet libre

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J’aime beaucoup mangue francisque pour son arome  et son gout.  Cette variété fort appréciée sur le marché internationale ne se retrouve qu’en Haïti.

Le 29 novembre 2012. Le Nouvelliste publiait un article intitulé : « Mango francisque, le fruit à 20 millions de dollars ». L’article du journaliste Gérard JEANTY Junior, présentait  la situation actuelle de l’exportation de la mangue Francisque et décrivait les efforts déployés par le Ministère de l’Agriculture des ressources naturelles et du développement rural (MARNDR) et par d’autres organismes dont l’Institut interaméricain de coopération pour l’agriculture (IICA) pour encourager le développement de ce marché ma foi très lucratif.

Les haïtiens aiment manger leurs mangues bien mures. Pour moi, il est difficile de manger une bonne mangue en public car cet exercice est pour moi toujours très agréable mais également très salissant.

Dans son roman L’Art presque perdu de ne rien faire, Dany Laferrière illustre  le plaisir apporté par l’ experience mangue. En voici un extrait

L’art de manger une mangue

On suppose que vous vous trouvez à ce moment-là

quelque part au sud de la vie. Il faut attendre

alors un midi de juillet quand la chaleur

devient insupportable.Une cuvette blanche

remplie d’eau fraîche sur une petite table bancale,

sous un manguier. Vous arrivez en sueur

d’une demi-journée agitée pour vous asseoir

à l’ombre, sans rien dire pendant un long moment,

jusqu’à ce que votre sieste soit interrompue

par le bruit sourd d’une mangue qui vient de tomber

près de votre pied. Il faut la respirer longuement

avant de la dévorer jusqu’à ce qu’il ne reste plus

une once de chair ni non plus une goutte de jus.

Puis vous vous lavez le visage et le torse dans la cuvette

d’eau avant de retourner à votre chaise.

La mangue de midi est la grâce du jour.

Bien que j’adore la mangue francisque, je me questionne sur la préservation de la biodiversité  dans cet effort du développement de l’économie Agricole du pays. Je souhaite qu’il existe une politique de remplacement et de replantation des variétés utilisées comme porte-greffe. Haïti dispose d’une grande variété de mangue.  Il serait dommage de détruire cette diversité en transformant tous le manguier en variété francisque. Haïti connais de grand problèmes de déboisement. Il ne faudrait ajouter une nouvelle dimension au problème.

Activité C Module 3- sujet libre

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Un don pour le Bonheur

 

Selon la définition du grand dictionnaire de la langue française, le Bonheur est la satisfaction des besoins ressentis.

Le bonheur peut vouloir dire la joie ou le plaisir : Quel bonheur de vous revoir

Il peut aussi signifier un état complet de satisfaction. Je vis un bonheur parfait depuis mon mariage. (Bon, c’est juste pour un exemple!!!)

Bref le bonheur peut prendre des dimensions multiples qu’il est difficile de jauger. Il semble que celui qui a atteint le bonheur soit heureux. Est-ce exact? Existe-il une nuance entre les deux concepts?

Selon Wiktionary, est heureux celui qui  jouit du bonheur, qui possède ce qui peut le rendre content.

Or, ce qui rend content dépend d’une série de facteurs propre à chaque individu, par exemple, son éducation, sa culture, les données démographiques de son environnement, son exposition à la publicité, son ambition, et cetera.

Untel peut être extrêmement content de vivre entre quatre murs et un toit, pour autant qu’il a la possibilité de voir grandir ses enfants en leur inculquant des valeurs comme le partage, l’écoute, l’estime de soi. De son coté, son voisin vivant dans une belle maison de trois étages peut rêver d’une plus grande maison avec piscine et se préoccuper tellement de cet objectif, qu’il lui est impossible d’apprécier ce qu’il possède déjà.

Untel peut se plaindre de l’attitude de son conjoint qui est pourtant un bon partenaire.

Je pense donc que le bonheur dépendrait non seulement de notre attitude face à la vie mais également de notre aptitude à prendre conscience de ce que nous possédons déjà (qu’il s’agisse du domaine matériel ou de tout autre domaine.  De ce fait, je pense que les personnes ayant cette capacité sont prédisposées au bonheur. Comme un artiste peu parler de sa technique mais peut difficilement le transmettre son talent si le récepteur n’est pas lui-même doué.