Privacy and the Internet: Is Facebook evil? – Peut-être que non mais moi j’ai peur! Activite C, Module 5

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Dans son blogue, le professeur Lemire publiait, le 9 Aout 2013, un article présentant une vision rationnelle de notre relation avec le concept de la confidentialité dans le nouveau village que constitue l’internet.  Dans Privacy and the Internet: Is Facebook evil? , il nous explique la différence entre invisibilité et confidentialité et nous amène à comprendre que ce que nous voulons, c’est de préserver une certaine confidentialité tout en étant visible.  Mais est-ce exacte? Est-ce que je veux vraiment être visible? Je ne pourrais jamais être totalement invisible… il est maintenant trop tard. Mais ma question cependant est la suivante : faut-il dans la mesure du possible limiter sa visibilité?

Le professeur Lemire le souligne dans sa chronique, qu’il « est un utilisateur expert des ordinateurs ». Il est donc en mesure d’aborder toute cette question en utilisant les outils lui permettant de jauger le problème selon l’angle de la logique.  Ce qu’il me manque, c’est justement la maitrise du sujet. En  se basant sur l’information véhiculée par les média traditionnels comme la radio, la télévision et les journaux, on comprend que beaucoup  d’informations sont constamment collecter à notre sujet via ou pour Internet.  Google utilise par exemple les données recueillis par la géolocalisation sur nos téléphones intelligents, afin de prévoir de manière précise l’état de la circulation sur les routes.  Ce service est utile, comme plusieurs autres, et est gratuit.  J’ignore la source de cette citation mais ne dit-on pas : « Si vous ne payez pas pour le produit, c’est que vous êtes le produit » ?  Or si je suis un produit, je suis à la merci de celui qui me possède. Je n’ai aucune idée de ce qui peut être fait de toute cette information amassée à mon sujet.  J’ai peur que le « Big Brother » du roman mille neuf cent quatre-vingt-quatre de George Orwell soit en gestation et que dans un avenir proche, il n’apparaisse. Mon reflex est alors de me préparer à l’invisibilité. Difficile entreprise, j’en suis consciente … mais bon! Trop peu est peut-être mieux que rien du tout. Le fait d’éviter d’être trop présente sur les réseaux sociaux me donne une impression peut-être fausse de sécurité.

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